Je vais vous dire la vérité.
Ce monde manque cruellement de douceur et de féminité.
Je rencontre des femmes merveilleuses tous les jours qui me parlent de leurs tourments.
Elles traversent des carrefours de vie et d'immenses remises en question. Elles cherchent la lumière d'un phare éloigné.
Toute leurs vies, elles ont été fortes suivant leur vision, leurs objectifs; cherchant à convenir aussi. Aux leurs. À la société. Au monde.
Le conformisme d'un faux self - comme on le nomme en psychologie.
Et puis voilà qu'un jour un évènement vient fendre leur carapace solide et les arrête un temps. Plus le choix que de se regarder.
Le temps de s'introspecter.
Ces femmes sont des battantes. Elles ont appris à continuer d'avancer quoi qu'il en coûte. Elles ont appris à être en mouvement, sans cesse. À donner, beaucoup.
Pour survivre dans ce monde aux fortes tendances patriarcales.
Mais on ne guérit pas d'une situation en conservant la même énergie qui nous y a plongé.
On ne peut s'épanouir dans un environnement qui nous a rendu malade.
On ne peut bloquer éternellement le flux de notre réceptivité.
Nous ne pouvons plus ignorer notre sensibilité. La douceur de nos coeurs. Celle-là même que nous savons donner aux autres... mais que bien souvent nous oublions pour nous-même.
Pourtant nous savons que tout commence en nous, par nous.
Nous vivons dans une société de performance, de productivité et d'efficience... mais rien de tout cela ne peut advenir sans bien-être.
Bien être c'est d'abord apprendre à être.
Ressentir. Se laisser traverser par la vie et ses émotions. Faire une pause.
Recevoir c'est déjà accepter ce que la vie nous offre mais aussi ce qui nous traverse. Même les espaces les plus inconfortables.
Être c'est accepter. D'être là. S'y abandonner. Lâcher prise. C'est le premier pas. La première réponse.
Parce que les clefs ne sont pas toujours dans le faire et dans l'action. Bien souvent la clarté vient de l'intérieur.
Se tourner vers l'extérieur est si facile. La société entière est faite pour capter votre attention.
Les bruits, les publicités, les sons.
Faire, faire, faire est si aisé.
Mais qu'en est-il de regarder au-dedans? Que se passerait-il si nous nous mettions à nous offrir ce que nous savons donner aux autres?
Le manque disparaîtra. Et chacun saurait qu'il est entier.
La douceur serait une norme dans la danse complémentaire de l'être et du faire.
Je vous y invite.
À mes côtés.
Se retrouver, enfin.
Parce que vous le méritez.
Simplement.
Parce qu'il est temps de lâcher l'armure.
Entièrement.
C'est de ces constats et de cette traversée personnelle qu'est né l'accompagnement PULSE : le retour à soi pour enfin vibrer!
Le développement personnel n'est pas censé vous conduire vers la meilleure version de vous-même. Vous l'êtes déjà.
Vous n'avez pas besoin d'être plus. Vous êtes assez. La vraie quête consiste à se dépouiller de l'acquis pour retrouver le chemin de l'inné.
Je vais vous dire la vérité.
Moi aussi j'ai cru que je devais tout savoir et tout appliquer pour être une "bonne personne"".
Moi aussi j'ai cru que lisser les contours et faire rentrer un carré dans un rond me rendrait plus sage et plus humaine.
Moi aussi j'ai cru que faire un chemin thérapeutique me rendrait plus méritante ou une meilleure sachante (j'invente un mot mais ça rimait trop bien!).
Moi aussi j'ai cru que faire de la communication non violente et de la psychologie me permettraient de mieux comprendre, communiquer et écouter.
Mais je me suis trompée. Tout cela n'est en partie que du bullshit.
Une illusion.
Que des masques ou des rôles de plus à se donner pour offrir au monde une belle vitrine.
La vérité c'est que vous n'avez besoin de rien de plus que ce que vous êtes pour être bien.
Vous ne manquez de rien intérieurement même si vous en êtes persuadé.e.
Vous avez seulement besoin de vous retrouver. De vous rappeler. Qui vous êtes. Ce que vous voulez. Ce qui vous fait vibrer et l'assumer. Le porter.
Le reste n'est qu'un refus de s'accepter.
Entièrement dans ce que l'on est. Nos colères. Nos peurs. Nos génies... Nos parts lumineuses et nos parts d'ombre.
Oui nous sommes humains.
